Slide Pour qui ?

Je propose des séances de soutien à toutes personnes âgées, avec ou sans pathologies.

Le vieillissement peut être ponctué d’étapes plus ou moins difficiles pour la personne : perte d’autonomie, handicap, solitude, deuil, sentiment de finitude… Ces difficultés peuvent entrainer de la souffrance qui prend peu à peu toute la place dans le quotidien. Cette souffrance peut s’exprimer de différentes manières selon les personnes, cela peut se manifester par un repli sur soi, de la tristesse constante, une anxiété ou même de la colère envers soi-même ou autrui.

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A l’annonce d’une pathologie neuroévolutive telle qu’une maladie d’Alzheimer, de Parkinson, à corps de Lewy… le quotidien de la personne et de son entourage se trouve bouleversé. Pour le bien-être de la personne malade, il peut lui être proposé un soutien psychologique individuel, en famille ou encore des séances de stimulation cognitive. La pose de diagnostic est souvent difficile, malgré le soulagement d’avoir trouvé la cause des troubles, la nomination de la maladie parfois méconnue, peut faire peur ou entrainer une foule de questions. Un accompagnement avec un psychologue peut aider la personne âgée à accepter sa maladie, à vivre avec et à s’adapter.

L’échange avec le psychologue permet de mettre des mots sur des pensées, d’extérioriser, de se questionner et de trouver des solutions pour aller vers un mieux-être. Il peut également être du rôle du psychologue de proposer une évaluation psychologique afin d’aider à la pose d’un diagnostic, ceci se fait en lien avec le médecin traitant. Ce dernier pourra ainsi adapter le traitement ou proposer des examens complémentaires, par exemple dans le cas d’une dépression ou des troubles de la mémoire grandissants.

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Les proches et les aidants qui sont aux côtés d’une personne vieillissante, n’est pas toujours une place ou un rôle facile.

La relation d’aide peut rapidement prendre une place importante dans la vie quotidienne, et devenir parfois envahissante. Beaucoup de facteurs peuvent entrer en jeu et il est légitime de se faire accompagner par un psychologue si l’on en ressent le besoin. Il n’est pas rare de voir qu’une personne vieillissante sur-sollicite l’un de ses proches au quotidien. Ou a contrario, qu’un proche s’investisse de lui-même dans cette relation d’aide, tout en s’apercevant que celle-ci l’épuise, mais ne sachant comment l’arrêter ou la diminuer. Lorsque la personne vieillit elle a souvent besoin de plus d’aide que ce soit pour la toilette, la gestion de son quotidien, de l’administratif et de ce fait, les rôles parents/enfants peuvent être ressentit comme étant inversé.

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Comment retrouver sa place et ne pas être seulement l’aidant de son parent ? Puis lorsque son parents a besoin de plus d’accompagnement, et que l’entrée en maison de retraite est alors envisagé, la culpabilité peut se faire ressentir. Ce n’est pas toujours ce que l’on souhaite pour son parent, ou ce que ce dernier souhaitait, mais il peut s’avérer que c’est la seule solution envisageable. Comment alors être en accord avec soi-même pour cette décision et comment accompagner son parent pour ce changement de lieux de vie ?
Toutes ces questions et difficultés ressenties lorsque l’on accompagne un proche âgé sont légitimes. Parler, partager son ressenti avec un professionnel peut s’avérer bénéfique tant pour l’aidant, que pour la relation d’aide afin d’accompagner au mieux son proche vieillissant.

Être un aidant familial auprès d’une personne atteinte de maladie d’Alzheimer ou d’une maladie apparentés peut parfois s’avérer être un rôle difficile. Face à la pathologie et aux troubles du comportements parfois associé, l’aidant peut se trouver dans un grand désarroi. Il n’est pas rare de se sentir isolé ou incompris par ceux qui nous entourent, tant cette maladie est singulière et parfois inquiétante. C’est d’autant plus difficile d’être un aidant d’une personne atteinte de maladie neuroévolutive, qu’il n’y a que peu de répit, les malades ne pouvant que rarement être seul. L’aidant arrive donc souvent dans un état d’épuisement tant physique que moral. Se faire accompagner psychologiquement en tant qu’aidant, va aider à exprimer et à comprendre, les attitudes, réactions et émotions ressenties face à l’accompagnement de son proche.

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Pouvoir exprimer en toute liberté les difficultés rencontrés va permettre au psychologue de donner des informations pertinentes et vous aider à trouver des solutions, des moyens de réagir ou à prendre des décisions. Ce faire soutenir par un psychologue peut permettre d’améliorer la relation avec son proche, de se sentir valorisé en tant qu’aidant et prévenir l’épuisement autant physique que psychologique.

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